Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

L'histoire de Ben (Alcooliques Anonymes Morlaix)

Publié le par kreizker

@alcooliquesanonymesbzh Un homme seul, qui souffre. La rencontre d'un groupe & enfin des mains tendues. Entre pairs, on se comprend, on avance vers un même but. Enfin, l'horizon s'éclaircit, et on se relève après la chute. Ces mots, c'est l'histoire de Ben. L'histoire d'une rencontre qui lui redonnera espoir. Qui lui donnera la force de se battre. Et quelle magnifique histoire. Nous le remercions mille fois de nous l'avoir partagé. Et aujourd'hui de nous permettre de vous la faire écouter. Nous espérons qu'il vous plaira autant que celui d'Hervé ! ©Ben - Membre AA Morlaix . #morlaix #alcoholicanonymous #entraide #abstinence #alcool #addiction ♬ son original - Alcooliques Anonymes Breizh

Publié dans AA Bretagne

Partager cet article
Repost0

VINTAGE

Publié le par kreizker

VINTAGE

 

Probablement années 1950
Probablement années 1950

Probablement années 1950

Une ligne de téléphone peut être

TA LIGNE DE VIE

... mais téléphone AVANT 

de prendre LE PREMIER

 

UN APPEL A TEMPS SAUVE TOUT CE QUI A DE LA VALEUR POUR TOI

 

39th Street group - Ed B 25 Octobre 1971
39th Street group - Ed B 25 Octobre 1971

39th Street group - Ed B 25 Octobre 1971

Publié dans Vintage

Partager cet article
Repost0

AA @Washington State Penitentiary September 1957

Publié le par kreizker

AA @Washington State Penitentiary September 1957
AA @Washington State Penitentiary September 1957
AA @Washington State Penitentiary September 1957
AA @Washington State Penitentiary September 1957
AA @Washington State Penitentiary September 1957
AA @Washington State Penitentiary September 1957
AA @Washington State Penitentiary September 1957
AA @Washington State Penitentiary September 1957
AA @Washington State Penitentiary September 1957
AA @Washington State Penitentiary September 1957
AA @Washington State Penitentiary September 1957
AA @Washington State Penitentiary September 1957
AA @Washington State Penitentiary September 1957
AA @Washington State Penitentiary September 1957

In the Washington State Penitentiary at Walla Walla, several maximum security inmates began meeting surreptitiously in the "big yard" as early as 1942.

The prison's director of education wrote the Alcoholic Foundation in 1943 about starting an A.A. group behind the walls, and he met Bill W. on his first trip to Seattle.

In July of the following year Les F. came to Walla Walla from Seattle with the endorsement of the Governor for the express purpose of starting a group.

In 1950, the group had it's first annual open house, and by 1978 that event was attended by 250 inmates and 200 outside guests.

In 1985 the group had three meetings a week.

Publié dans AA en prison

Partager cet article
Repost0

En Finistère, ces « abstinentes heureuses » créent un nouveau groupe d’Alcooliques Anonymes

Publié le par kreizker

in "Ouest-France", 20 Octobre 2024

Mélanie et Sophie sont devenues amies grâce aux réunions des Alcooliques Anonymes.

Mélanie et Sophie sont devenues amies grâce aux réunions des Alcooliques Anonymes.

Mélanie et Sophie sont à l’initiative d’un nouveau groupe d’Alcooliques Anonymes, à Lesneven (Finistère), afin de répondre à une demande de proximité et aider à leur tour d’autres personnes qui ont besoin d’une « écoute », d’un « partage ».

Mélanie* et Sophie* se voient comme des « abstinentes heureuses ». Après des années à lutter contre la dépendance à l’alcool, elles ont fait de leur combat une force et souhaitent aider les autres. Ensemble. « Les Alcooliques Anonymes (AA) apprennent la sobriété et à gérer leurs émotions, sourit Sophie. Avec les groupes de Landivisiau et Morlaix, j’ai trouvé une nouvelle famille. On a les mêmes problèmes, le même vécu. Sans les AA, je ne serais plus là. »

« L’alcool devait m’aider. Il m’a enfoncée » Cette ancienne aide à domicile, qui a aujourd’hui 51 ans, commence à consommer de l’alcool à 19 ans. « Je me souviens du jour exact, c’était après un choc émotionnel. L’alcool devait m’aider. Il m’a enfoncée. » La dépendance est rapide. Elle boit régulièrement le matin et va travailler avec une bouteille dans le sac. « Personne ne s’en est jamais aperçu. J’avais un masque, ça devait cacher l’haleine. »

Mais Sophie « perd la maîtrise » de sa vie. Elle est hospitalisée. Elle essaie d’arrêter une première fois et reste abstinente pendant sept ans. « Puis j’ai bu un verre de cidre. Quelques jours après, je reprenais le whisky. »

« Ce qui fait tenir, c’est d’aider »

La quinquagénaire est arrivée aux Alcooliques Anonymes, il y a quatre ans. Elle est aujourd’hui fière d’annoncer qu’elle n’a pas bu depuis deux ans et demi. « Même les moules marinières, c’est fini. Je reviens de trop loin. »

Ce qu’elle a trouvé dans le groupe ? « Une renaissance. On a créé des liens. J’y vais deux fois par semaine, ça brise l’isolement. Ce qui fait tenir, c’est d’aider d’autres personnes. »

« Après, j’ai réussi à m’y rendre »

À ses côtés, Mélanie, 68 ans, a un parcours bien différent. Un apéro le samedi, puis le vendredi, puis en semaine… Elle « glisse » progressivement jusqu’à ne plus pouvoir se passer de prendre son mousseux, le soir. Elle perd son permis. Le jour où elle se surprend à trouver des excuses pour ne pas voir ses petits-enfants, elle a le déclic. « La différence entre un gros buveur et un alcoolique ? L’un est festif, l’autre non… »

Pour elle aussi, il y a rechute, avant une hospitalisation. Une infirmière lui parle alors des Alcooliques Anonymes. « Je voyais bien les réunions dans les journaux, mais je n’y allais pas. Des personnes du groupe sont venues me voir chez moi, ce n’est qu’après que j’ai réussi à m’y rendre. »

« Landivisiau, trop loin de Guissény et Lesneven »

Sophie et Mélanie ont toutes deux des médailles sur elles. Celles qui correspondent à leurs mois d’abstinence. Un symbole du travail qu’elles ont mené et qu’elles comptent bien poursuivre. « Dans notre groupe de Landivisiau, des personnes venaient de Guissény et de Lesneven... et elles ont décroché. C’était trop loin de leur domicile. On a donc décidé d’ouvrir un créneau à Lesneven. »

La première séance a eu lieu, lundi 14 octobre 2024, et cinq personnes y ont participé, dont certaines en visio. Malade ou aidant, l’accès est libre, « sans jugement ». Seules « les personnes agressives » ne sont pas les bienvenues. « Quand on se voit, on partage, on rit, on fête les anniversaires de nos abstinences. On les attend ces réunions, on en a besoin. »

Pratique : tous les lundis, à 20 h, au 2, rue des Déportés, à Lesneven (Finistère). Contact : 06 42 23 72 22 ou par mail : aalesneven@laposte.net *

À la demande des personnes que nous avons rencontrées, les prénoms ont été modifiés.

Publié dans AA Bretagne

Partager cet article
Repost0