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revue de presse "AA France 50 ans"

Publié le par kreizker

-Les Alcooliques Anonymes fêtent leur demi-siècle en France PARIS - Les Alcooliques Anonymes fêtent ce week-end à Paris leur demi-siècle de présence en France. "Cinquante ans d'espoir et d'action", souligne l'association d'origine américaine qui compte aujourd'hui dans l'Hexagone quelque 10.000 membres répartis dans 591 groupes nationaux.

 SUITE sur l-internet-facile.com (si vous cliquez sur  "en savoir plus", cela vous mène chez Yahoo !)

 

Même chose sur alvinet.com avec en prime un article sur les dépressifs anonymes à Saint Brieuc

 

Les Alcooliques Anonymes fêtent ce week-end à Paris leur demi-siècle de présence en France. "Cinquante ans d'espoir et d'action", l'association d'origine américaine qui compte aujourd'hui dans l'Hexagone quelque 10.000 membres répartis dans 591 groupes nationaux.

SUITE sur fr.news.yahoo.com

à noter dans ce dernier article l'erreur classique sur le prière de la sérénité, et le nombre de membres qui semble assez surévalué  ....

 

même chose sur eitb.com

Les Alcooliques Anonymes fêtent leur demi-siècle en France - EiTB Actualites Societe

 

ainsi que sur nouvelobs.com

et index-net.org

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Play explores start of Alcoholics Anonymous

Publié le par kreizker

 

bill & bob 1 

 

" Jim thinks back to that life-changing day in a Toronto park: Homeless, penniless and junked up on drugs, he begged someone for a quarter and stumbled to the nearest pay phone.

He phoned the one relative — a sister — he thought would answer his call.

“Please help me. I’m dying in a park,” said Jim, who was then emaciated, dehydrated and jaundiced.

 

After about 20 years of abusing alcohol, cocaine and various street drugs, which derailed an illustrious career as a theatre performer, Jim had a moment of clarity. Or, as he puts it: “I surrendered. I let go and asked for help.”

 

“Come and get me,” he told his sister, before passing out on a park bench.

 

He woke up in a treatment facility started on a road to recovery that eventually led to Renascent (***), an addiction treatment centre, where the 45-year-old now works as a counselor.

 

Memories of his downward spiral into addiction and the phone call that helped save Jim’s life have helped him prepare for his performance in Bill W. and Dr. Bob, an off-Broadway play about the co-founders of Alcoholics Anonymous (AA)." ...

 

bill & bob

A scene from the second act of "Bill W. and Dr. Bob"

 

ARTICLE COMPLET sur thestar.com

 

(***) Renascent  renascent toronto :  link

 

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“L’alcool tapait dans ma tête”

Publié le par kreizker

in "La Dernière Heure" (Belgique), 10 novembre 2010 

 

René, 65 ans, est sobre depuis 26 ans

 

ALCOOLISME “C’est arrivé à mon service militaire. Il fallait boire et fumer pour devenir un homme”, explique René. Aujourd’hui pensionné, ce Bruxellois a travaillé comme facteur à La Poste, “un secteur de pochtrons à l’époque”.

René a été alcoolique pendant une dizaine d’années. “Ma femme est partie avec ma fille de trois ans quand j’ai commencé à boire. La boisson me rendait violent, je l’ai giflée. Toute ma famille me craignait et me rejetait.” Avec parfois plus de 30 bières quotidiennes, René n’était plus jamais à jeun. “Je buvais essentiellement de la bière ou tout ce qui me tombait sous la main.” Pour assouvir sa dépendance, il a même été jusqu’à avaler le contenu de bouteilles de parfums.

 

Une accumulation que son foie n’a pas supportée. “J’ai fait une crise d’estomac et j’ai subi un lavage à l’hôpital. Les médecins avaient vidé mon corps de l’alcool mais je n’étais pas guéri.” Son mental lui faisait défaut, à tel point que René a rechuté.

Ce sont les réunions AA (alcooliques anonymes) qui lui ont permis de sortir la tête hors de cette spirale infernale. “L’idée est qu’on est plus fort à plusieurs que tout seul. Les autres sont là pour nous écouter, nous soutenir et nous conseiller.” René participe deux fois par semaine depuis 26 ans à ces thérapies de groupes. Des rendez-vous qui lui ont apporté un bien-être et qu’il ne souhaite plus manquer.

 

“L’idée est d’apporter aux AA une abstinence heureuse”, explique une employée du Bureau national des alcooliques anonymes. Pour René, le fait que tout le monde soit le bienvenu dans ces réunions est un énorme avantage. “Une fois que quelqu’un franchi la porte, nous l’aidons, quels que soient son statut et son origine”, explique le retraité.

Se confronter aux témoignages des autres permet aussi de relativiser sa situation. “J’ai beaucoup de chance, je n’ai pas de cirrhose comme beaucoup d’entre nous”, ajoute René. Aujourd’hui bien dans sa peau, cet AA de longue date ne souhaite plus tenter le diable. “Je ne veux plus absorber une seule goutte d’alcool, que ce soit dans un verre, dans un plat ou dans une praline.” René se dédie même aux autres. Deux fois par mois, il assume une permanence téléphonique 24 h sur 24 pour aider ceux qui, comme lui, il y a des années, vivent un enfer.

F. L.

 

Une quinzaine de personnes se retrouvent en groupe pour témoigner et se soutenir. À Bruxelles, une trentaine de points de rencontre existent.

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RFI 10 NOVEMBRE 2010

Publié le par kreizker

Par Claire Hedon
  
L’alcool : en parler pour se libérer ?
 
En 2010, le mouvement des Alcooliques Anonymes France (AA) fête le 13 octobre, ses 50 ans. Né aux USA en 1935, c’est en 1960 que le premier groupe ouvrait à Paris. Aujourd’hui, 591 groupes à travers l’ensemble du territoire constituent une chaîne de solidarité au service de toute personne souffrant d’alcoolisme. En 2009, environ 116 000 groupes ont été recensés dans le monde entier, ce qui représente au moins 2 millions de membres.
 
Comment lutter contre l’alcoolisme et mieux prendre en charge les patients ?

 

 

Pour nous en parler :

  • Monique, membre des AA, Alcooliques anonymes, présidente du congrès qui célèbre les 50 ans d’existence à Paris.
  • Michel, membre des AA, Alcooliques anonymes, responsable du bureau parrainage avec l’Afrique francophone.
  • Dr William Lowenstein, addictologue et directeur de la clinique Montevideo à Boulogne Billancourt.

 

En fin d’émission nous parlons de l’accès aux médicaments en Afrique. Alors que les médicaments contrefaits sont au cœur des débats, qu’en est-il de la situation dans les pays d’Afrique Francophone ? Quels sont les rôles que doit jouer le pharmacien dans les pays où l’inégalité des soins est aussi bien géographique que financière ?
 

 

Pour répondre à ces questions, des experts se sont réunis hier lors de la Conférence Internationale des Pharmaciens francophones (CIOPF) à Paris.

 

 

Parmi ces experts :

Hyacinthe Ingani, présidente de l’ordre des pharmaciens de la République du Congo, président de l’Inter-Ordre des Pharmaciens d’Afrique, député à l’Assemblée nationale de la République du Congo.

 

ARTICLE COMPLET sur RFI.fr

 


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