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FAIT DIVERS

Publié le par kreizker

in "7sur7.be", 28 décembre 2011

 

Arrêté pour avoir amené de l'alcool aux alcooliques anonymes

Un homme a été arrêté après avoir semé une sacrée pagaille à une réunion des alcooliques anonymes. L'incident s'est déroulé ce lundi à Cincinnati dans l'Ohio aux Etats-Unis. Darrin Porter (45 ans) a cru bon de se rendre à une réunion des alcooliques anonymes muni... d'alcool.

Selon les policiers qui sont intervenus sur les lieux, Porter était complètement ivre au moment des faits. Il s'est alors mis à narguer les membres de l'association avec ses bouteilles.

darrin porter

Plusieurs personnes lui ont demandé de quitter les lieux mais l'homme a refusé et s'est montré de plus en plus violent. Les policiers ont été contraints d'intervenir pour stopper l'individu qui devra probablement suivre ces séances à sa sortie de prison.

 

La réunion : 12 Step House - 5638 Hamilton Ave College Hill - 45224 Cincinnati, OH - États-Unis  


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FAIT DIVERS

Publié le par kreizker

in "Réflexiondz.net", 12 décembre 2011

Un alcoolique retrouvé mort et dévoré par des rongeurs à Sougueur (willaya de Tiaret, Algérie)

 

La cité « Oued », un ensemble d’habitations vétustes et bidonvilles, a été le théâtre d’une découverte macabre illustrant une scène d’horreur pour des enfants qui jouaient aux abords et soudainement tombés en panique en faisant la découverte :

une personne âgée de près de 50 ans dévorée par de gros rongeurs au niveau de la tête et des mains et selon des milieux hospitaliers, la victime sous l’effet de l’alcool, a eu un malaise cardiaque et a trouvé la mort tout en notant qu’il fréquentait ces lieux et était connue comme un alcoolique qui vivait à l’ombre de l’indifférence de la société et en raison du passage et du ruissellement des eaux usées, la prolifération des rongeurs ( le rat noir) a connu un véritable saut et certaines épidémies ne sont pas à écarter.

La victime a été évacuée d’urgence aux services de la morgue et une enquête a été ouverte par les services de sécurité. Pour rappel la découverte a eu lieu ce vendredi 09 novembre aux environs de 15 h.


Ndlr : Il n'y a pas de présence AA en Algérie

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CANADA, québec, beloeil

Publié le par kreizker

in "L'Oeil Régional", 3 décembre 2011

Alcooliques anonymes 45 ans dans la Vallée

Les Alcooliques anonymes de la région de Belœil–Mont-Saint-Hilaire célèbrent en décembre 45 ans de présence dans la région. Pour l’occasion, trois alcooliques ont accepté de parler de leur association afin d'aider d'autres hommes ou femmes souffrant d'alcoolisme.

En effet, si cette association est anonyme, elle doit tout de même être suffisamment connue pour que les alcooliques puissent s'y référer. Surtout sachant que l’alcoolisme est une maladie qui affecte environ 10 % de la population.

Le bas fond

La majorité des membres des AA se retrouvent à une réunion après avoir atteint «le bas fond». Cette situation de souffrance extrême est souvent nécessaire pour que l'alcoolique choisisse de chercher de l'aide.

Les AA n'incitent personne à adhérer à leur mouvement. Il n'y a pas non plus de sanction pour quelqu'un qui ne respecterait pas les valeurs de l'association. «L'autorité, c'est la peur ou le danger de retomber», diront les membres.

Cette peur de se remettre à boire est toujours présente, même après 15, 20 ou 30 ans de sobriété. «Si tu sais quand tu prends ton premier verre, tu ne sais jamais quand tu prends le dernier», explique un homme qui a vécu l’expérience.

Pour garder le cap, les AA misent sur une approche spirituelle et sur l'entraide entre les membres. Cette particularité a d'ailleurs été visible tout au long de l'entretien; les trois hommes comptaient vraisemblablement les uns sur les autres, en plus de partager une certaine complicité. «On se crée vite un réseau d'amis», affirme même l'un d'eux.

 

562687Trois AA de la région ont accepté de parler avec la journaliste de leur association qui compte 45 ans de présence dans la Vallée.


«Une gang parmi tant d'autres»

Un des hommes qualifiera les AA d’une «gang», pas si différente d’autres groupes dont les membres se réunissent pour partager une expérience, une passion ou, dans ce cas, une maladie.

Les AA se concentrent sur les problèmes de consommation d'alcool avant tout, et non d'autres dépendances. Certains, qui sont du mouvement depuis un moment, constatent une augmentation de problèmes multiples de toxicomanie. Les groupes d'Alcooliques anonymes sont prêts à aider tous les dépendants, mais ceux-ci doivent parler d'abord d'alcoolisme.

Dans la région, les premières réunions ont eu lieu il y a 45 ans, dans l'ancienne bibliothèque de Belœil. Celles-ci réunissaient entre 200 et 300 personnes par semaine. La diffusion du mouvement avec les années fait en sorte qu'une soixantaine de membres se rencontrent actuellement tous les dimanches.

Les réunions des AA peuvent être ouvertes, c'est-à-dire accessibles au public et aux proches, ou fermées, pour ne rassembler que des membres dans une plus grande intimité. «Il y a beaucoup de bonne humeur dans les réunions», indiquent les membres. Et celles-ci sont de différents formats et types, de sorte qu’il y en a pour tout le monde.

Plusieurs rencontres ont lieu tous les jours, dans diverses municipalités de la Vallée-du-Richelieu. Pour connaître les divers points de rencontre, il est possible de contacter l’association au 450.670.9480 ou au 514.376.9230.

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Francine : « J'ai posé mon verre «

Publié le par kreizker

in "L'Union - L'Ardennais", 14 novembre 2011

51e anniversaire des Alcooliques anonymes

A Châlons, l'association des Alcooliques anonymes aide ceux qui veulent retrouver leur liberté face à la boisson. Comme Francine, 56 ans, qui vient de souffler la bougie de son premier anniversaire : un an sans une goutte d'alcool.

 

QUATRE saisons, 365 jours. Une révolution de la terre autour du soleil. Un an sans toucher à un seul verre. S'il existe des anniversaires qui comptent plus que d'autres, c'est bien ceux que fêtent au jus de fruit les Alcooliques anonymes. En l'honneur de l'un d'entre ses membres qui ont cessé de boire une année entière. Ceux qui savent mieux que quiconque le combat au quotidien que représente l'abstinence.
Francine vient de passer le cap symbolique d'une année sans lever un verre d'alcool à ses lèvres. L'occasion pour elle de mesurer le chemin parcouru. Elle est née dans le vignoble de l'arrondissement châlonnais. C'est une femme de viticulteur, âgée de 56 ans. Son rôle consiste à commercialiser le champagne. Longtemps, sa consommation n'est restée que ponctuelle et festive. Puis régulière : « Vous comprenez, on a tout à la maison, champagne, vin rouge, ratafia, il n'y a pas besoin d'aller faire des courses. Tout est à portée de main. Au supermarché, certains sont obligés de se cacher pour acheter leurs bouteilles ou bien ils achètent leur alcool avec autre chose pour ne pas montrer qu'ils ne prennent que cela ! Mais pour moi, c'était tellement facile ! ».

 

Idées suicidaires
C'est aux environs de la cinquantaine qu'elle se rend compte de sa dépendance, ce corps qui appelle son dû. Sa consommation ? Un rite immuable durant de longs mois. De la bière dès 10 h 30. Cinq canettes de Leffe consommées jusqu'à l'heure de l'apéritif. L'apéro ? « Du ratafia, entre trois et quatre verres. L'après-midi, je dormais environ jusqu'à 18 heures. Et puis au réveil, je me disais : non, je ne vais tout de même pas reboire, mais je recommençais : bière d'abord, rata après ». A chaque jour de la semaine, le même scénario se répétait, valse de verres souvent solitaires qui s'additionnent et dont on ne peut plus se passer. Avec aussi parfois, du vin à table. Le week-end, la consommation revêtait un autre aspect : « Je faisais déguster du champagne aux clients, et après leur départ, je finissais la bouteille en cachette. Parfois mon mari s'étonnait : je disais que c'était eux qui l'avaient terminée. Je crois qu'il se rendait bien compte en fait, comme mon amie qui m'a dit un jour que je sentais l'alcool. Elle m'a dit : arrête de taper dans la gourde. ».
Mais rien n'y faisait vraiment. De temps à autre, intimement, timidement, elle s'interrogeait. Pourquoi tant d'alcool ? Les enfants ? Un conjoint trop souvent absent ? Une vie trop ennuyeuse ? Fréquents chez elle étaient les accès dépressifs, les sautes d'humeurs, l'euphorie succédant à la mélancolie, ou vice-versa : « Les idées suicidaires aussi ». Son mari finira par découvrir une bouteille cachée. Il reviendra un jour alors qu'elle ne l'attendait pas, et qui la découvrira en train de vomir à triple boyau. Francine sera emmenée à l'hôpital et passera un mois et demi dans une maison de repos spécialisée.

 

FRANCE 2011

 

Maladie de l'émotion
A son retour, elle appela les Alcooliques anonymes « parce qu'il fallait que j'aille plus loin ». Ici, on ne juge pas parce qu'on est passé par là. Ici, chacun fait partie de ces 2 % de la population à être alcoolo dépendant. Tous atteints par « cette maladie de l'émotion », explique Jean-Claude, le pilier à Châlons de l'association. Lui aussi est passé par là. Lui aussi s'en est sorti. Parce qu'on lui a tendu la main, il sait aussi la tendre aux autres. Jean-Claude mesure bien entendu l'utilité d'un traitement médical, met en avant le travail des alcoologues, mais il sait aussi que le rôle d'une structure comme celle des AA est primordial : « Les médecins sont des thérapeutes, pas des consommateurs. Le médecin apporte le médicament, nous autre chose. Car le but n'est pas la simple abstinence physique. Il faut être un abstinent heureux. Il faut l'être dans son corps mais aussi dans sa tête Et ça, on l'apprend chez nous ».
Quant à Francine, elle aime à dire : « J'ai posé mon verre le 3 novembre 2010. Depuis, j'ai retrouvé ma liberté ». Mais elle reconnaît que chaque jour est un recommencement : « Ce n'est jamais gagné ». Le week-end prochain, elle sera au palais des congrès à Reims pour le 51e anniversaire national des Alcooliques anonymes. Peut-être croisera-t-elle quelqu'un qui, discret dans un coin, sera venu là pour tenter de confier sa détresse et qui n'ose pas franchir le pas de l'association. Francine promet : à celui ou celle-là qui voudrait un jour se sortir du fléau, elle sera là, pour lui permettre de souffler des bougies de l'abstinence…
Fabrice MINUEL
Pour tous renseignements sur les AA à Châlons : tél. 06.82.86.38.41.

 


 


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Groupe de Châlons en Champagne - jeudi 20h15 

Espace Gabriel Rigot (Rez-de-chaussée) 45 bis av. du Général de Gaulle Porte A - 51000 CHALONS EN CHAMPAGNE

Aussi réunion Al-Anon, même adresse, 1° jeudi du mois, 20h30

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