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numéro 7

Publié le par kreizker

"Il faut pouvoir vivre avec soi-même
avant de pouvoir vivre avec une autre personne."
Ma tête veut ma peau

Publié dans humour

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France, Saône et Loire, Mâcon

Publié le par kreizker

 Alcooliques anonymes

 

Permanences L'alcool est-il devenu pour vous un problème ? Si oui, les Alcooliques anonymes peuvent peut-être, vous aider, soit en téléphonant au 03.85.38.26.64 ou en venant aux réunions : le lundi à 18 heures à la Maison des Œuvres et de la jeunesse, 7, rue Jean-Dagnaux à Mâcon ; le mardi à 19 heures à l'hôpital des Chanaux de Mâcon (5e étage) ; le jeudi à 20 h 30 à la MJC de Mâcon, 24, rue de l'Héritan.

 

ARTICLE sur le JSL

Publié dans AA france

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COPRIN NOIR D'ENCRE

Publié le par kreizker

antabusede l'Antabuse bio, quoi !
LES COPRINS

Genéralités

Ce sont des champignons très fragiles et à développement ultra rapide. La majorité d’entre eux est de petite taille, ils sont facilement identifiables par leur façon de tomber en déliquescence, le chapeau se transforme alors en une bouillie noirâtre contenant les spores. Parmi eux un des meilleurs champignons: le Coprin chevelu, à condition de le consommer jeune, avant qu’il ne noircisse et très rapidement après la cueillette ( 3 à 4 heures). Parmi eux le Coprin noir d’encre, également comestible à condition de s’abstenir totalement de toute boisson alcoolisée.

 

42321927 p

8) Syndrome coprinien.

 

-espèce:  Coprin noir d’encre (Coprinus atramentarius).

  

-incubation: immédiatement à 30mn. après absorption de boissons alcoolisées.

 

-symptômes et troubles: tachycardie, hypotension, rubéfaction de la face, sensation de malaise, rougeurs cutanées, sueurs, céphalées.

 

-durée et diagnostic: 1 à 3 jours

 

-toxine responsable: coprine.

 

coprin noir dencre

 

ARTICLE

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Golfe de Saint Tropez

Publié le par kreizker

Le combat sans fin des Alcooliques anonymes
 
Le groupe maximois des Alcooliques anonymes compte une vingtaine de membres. Malgré des années d'abstinence, ils ne s'estiment pas définitivement guéris.
 

«L'alcool est une drogue légale, mais c'est la plus dangereuse, et la plus sournoise. Elle nous a tous démolis ». Alexandre (1), vingt-six ans d'abstinence au compteur, raconte ses déboires auprès de ceux qui veulent bien l'écouter (lire ci-dessous).

  

Deux fois par mois, il rend visite aux patients de la clinique psychiatrique de Cogolin, ainsi qu'aux détenus de la maison d'arrêt de La Farlède. Tous les vendredis, c'est aussi lui qui organise les réunions d'Alcooliques anonymes à Sainte-Maxime. Son épouse, elle, accueille les parents et proches des A.A.

 

Ce soir-là, une dizaine de personnes - dont la moitié de femmes - se pressent au deuxième étage de la Maison des associations. Il est vingt heures. Les seules bulles qui pétillent sont minérales. En guise d'introduction, l'un des membres relit, à haute voix, les douze étapes à suivre pour lutter contre cette « tristesse toxique ». Un programme dans lequel Dieu est omniprésent.

 

Jamais guéris

 

Après quelques secondes de blanc, Céline, ex-directrice marketing dans le monde de la parfumerie et maman de deux enfants, prend les devants et raconte sa longue descente aux enfers : « Je rentrais le soir, complètement torchée, et je me réveillais en tremblant, toujours mal dans ma peau. Sans le savoir, je pratiquais l'autodestruction », assure-elle, avant de remercier le groupe. « Ici, je n'ai jamais la sensation d'être seule, je suis entourée de frères et soeurs. Je vous fais preuve de toute ma gratitude ».

 

Les histoires se suivent, toutes singulières et pourtant semblables. Sosie d'un acteur de la série Plus belle la vie, Marc évoque ses premiers pas chez les A.A. « J'étais complètement empégué. Quand j'ai vu les deux A, je me suis demandé où j'étais tombé ».

La pression redescend d'un cran dans la salle. « Depuis, l'obsession de l'alcool s'est évaporée ». Pour preuve : ce soir, il fêtera ses treize ans d'abstinence. « Dès qu'il y a un problème, vous avez toujours été là. L'amour que j'ai trouvé ici, je ne le trouverai nulle part ailleurs ». Cette résurrection a un prix.

 

Au bord des larmes, Véronique annonce qu'elle vient de quitter son mari, après 37 ans de vie commune. « Il avait trop d'emprise sur moi, et il préférait que je reste alcoolique. Mais mon organisme n'a plus besoin de cette saloperie de produit. ça fait cinq ans que je ne bois plus. Après la rupture, mon fils m'a envoyé des menaces de mort. Mais maintenant, ça va mieux ».

 

Malgré cela, aucun d'eux ne s'estime définitivement guéri. « On ne le sera jamais. C'est une maladie incurable », jurent les membres, en reclaquant la porte de la petite salle. Comme pour se convaincre qu'ils peuvent replonger. À tout moment...

 

1 : Les prénoms ont été modifiés.

Savoir +

Les nouveaux venus ne paient pas d'adhésion. Réunions tous les vendredis, à 20 heures à la Maison des associations, rue Corona à Sainte-Maxime.

Infos : 04.94.49.18.40.

 

 

ARTICLE complet avec photo

Publié dans medias

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