62° Conférence des Services généraux AA (suite)
"in "Box 459", Vol. 45, No.2 Été 2012
Extrait :
Du 22 au 27 avril 2012, les membres de la 62e Conférence des Services généraux des Alcooliques anonymes des États-Unis et du Canada se sont réunis au Hilton Rye Town, à Rye Brook, New York ; le thème était : « L’anonymat : notre responsabilité spirituelle à l’ère numérique ».
Les 132 membres de la Conférence sont les 93 délégués des régions de la Conférence des É.-U. et du Canada ; les 21 administrateurs du Conseil des Services généraux ; les 4 directeurs aux Conseils de A.A.W.S. et du Grapevine ; et les 14 membres du personnel du Bureau des Services généraux et du Grapevine.
La Conférence a été ouverte officiellement dimanche par l’appel nominal par Phyllis H., Directrice générale du BSG, suivi du discours de bienvenue du président des délégués, Alan H., d’Oklahoma.
Dans le discours d’ouverture présenté par l’administrateur territorial de l’Ouest du Canada, Vic P., celui-ci a dit : « Bien sûr, nous voudrons toujours examiner avec enthousiasme tout avantage inhérent à notre environnement en évolution.
Comme dans le livre Réflexions de Bill (page 255), tiré d’un article du Grapevine de 1960, on trouve ces mots étonnants : ‘Rien n’est plus important pour le bien-être futur des AA que la façon dont nous utilisons les puissants moyens de communications modernes. Bien utilisés sans égoïsme, ils peuvent donner des résultats qui dépassent l’imagination.’ En adoptant cette attitude optimiste, cette 62e Conférence a hérité d’un rôle de leader prévoyant et créatif. Nous voudrons considérer toute évolution au plan culturel, économique, technologique et démographique comme si nos plus grandes préoccupations étaient la croissance des AA dans
le monde, et les questions auxquelles nous sommes confrontés concernant l’autofinancement. Nous ne parlons pas spécifiquement d’expansion, mais en ce sens, nous devons toujours nous demander comment mieux rejoindre et servir le plus grand nombre possible d’alcooliques, quel que soient leur âge, leur race, leurs croyances et leurs aptitudes à utiliser le numérique. Nos principes doivent servir de guides qui nous aident à naviguer dans des océans non familiers, et jamais comme ancres permanentes qui nous empêchent d’aller de l’avant. »
Voir aussi : http://0z.fr/bcut9